LIBRE-ÉCHANGE
La FNSEA demande l’arrêt total des négociations avec le Mercosur. « Nous demandons au chef de l'État de mettre son véto », déclare Patrick Bénézit, vice-président de la FNSEA.
La FNSEA demande l’arrêt total des négociations avec le Mercosur. « Nous demandons au chef de l'État de mettre son véto », déclare Patrick Bénézit, vice-président de la FNSEA.
Alors que la FCO-3 fait des ravages en Europe, un nouveau sérotype de la fièvre catarrhale ovine, le n° 12, a été détecté aux Pays-Bas. Des analyses sont en cours pour évaluer s’il s’est déjà propagé.
Les résultats définitifs des élections européennes en France donnent le Rassemblement national (RN) largement en tête avec 31,37 % des voix. Les premières projections confirment l’accroissement du morcellement politique déjà observé lors de la dernière mandature.
Alors que les Français seront appelés à élire leurs députés européens le 9 juin prochain, que formulent les principaux candidats (neuf listes ont été examinées sur les 38 en lice. NDLR) en matière agricole ? L’analyse de neuf programmes démontre des visions de l’agriculture diamétralement opposées. Seuls les traités de libre-échange dépourvus de clauses miroirs semblent faire l’unanimité… contre eux.
Parlement, Conseil, Commission… Il est parfois difficile de s’y retrouver parmi toutes les institutions européennes. Entre le 6 et le 9 juin prochain, les électeurs des 27 pays membres de l’Union européenne, soit 360 millions de citoyens, sont pourtant appelés à désigner leurs députés.
Le 9 juin prochain, les électeurs français seront appelés à élire les députés européens qui siégeront au Parlement à Strasbourg. Un scrutin de taille pour le monde agricole qui, après des mobilisations historiques en début d’année partout en Europe, font entendre leurs demandes vis-à-vis de la politique agricole commune et de la ruralité.
Pour les 60 ans du Salon international de l'agriculture, l’Ardèche était bien représentée, pour la troisième année consécutive. Avec en toile de fond les récentes mobilisations du monde agricole, les événements se sont succédé lors de cette semaine consacrée à l’agriculture à Paris.
Chaque année, les Français consomment environ 45 000 tonnes de miel. La production nationale de miel oscille entre 15 et 30 000 tonnes1 et ne permet pas de couvrir la demande. Comme tous les produits à forte valeur ajoutée, l’appât du gain, donc la tentation de fraude est grande, sur ce « sucre de luxe ».
Entre importation de pays tiers, pas toujours limpide concernant l’origine du miel et la tentation d’adultération concernant la composition, la fraude va bon train. Deuxième et dernière partie consacrée au miel et à la fraude.
Entre importation de pays tiers, pas toujours limpide concernant l’origine du miel et la tentation d’adultération concernant la composition, la fraude va bon train. Première chronique d’un article en deux temps, consacré au miel, la fraude et ses conséquences.
La réforme de la Pac était au centre d’un temps d’échanges, organisé vendredi 9 février à Coucouron, par la FDSEA et Jeunes agriculteurs (JA) Ardèche en présence d’une trentaine d’agriculteurs, d’élus locaux et du président de la commission économique de la FNSEA, Yannick Fialip.
Après la deuxième salve d’annonces réalisées par le gouvernement, la mobilisation des agriculteurs est suspendue. Mais le sablier est retourné et le temps s’égrène vite pour l’État qui doit présenter une loi réunissant les promesses faites aux agriculteurs ces dernières semaines, avant le Salon international de l’agriculture 2024.
Lors des mobilisations agricoles de ces dernières semaines, les agriculteurs ont dénoncé les accords de libre-échange de l’Union européenne avec des pays qui ne respectent pas les mêmes règles qu’en France ou en Europe, qui déstabilisent les marchés et créent des concurrences déloyales. Le point sur ces accords et leurs conséquences pour les différentes filières de production.
Quelle que soit l’issue des manifestations en France et à l’étranger, c’est également à Bruxelles que va se jouer une grande partie de l’avenir de l’agriculture française et européenne. Les négociations risquent d’être longues et âpres.
De petits yeux, des mines fatiguées mais une détermination sans faille. Au matin de la troisième journée de mobilisation au pont de Serrières, après deux nuits sur place, les agriculteurs, se réchauffent autour du braséro, avant la prise de parole du premier ministre, Gabriel Attal, cet après-midi en Haute-Garonne.
Une nouvelle année débute et l’agenda agricole promet déjà d’être bien rempli avec des rendez-vous importants à ne pas manquer et des défis de taille à relever aux niveaux mondial, national et régional : renouvellement des générations, élections, réchauffement climatique, prédation… Pour se repérer, nous avons noté, au fil des mois, les temps forts qui marqueront l’année agricole 2024. La rédaction en profite pour souhaiter une année prospère et heureuse à tous nos lecteurs.
Moins d’un an après son arrivée sur le vieux continent, la maladie hémorragique épizootique (MHE) a conquis cinq pays et surprend par des effets sur les bovins plus graves qu’attendu. Après son apparition dans les Pyrénées françaises le 18 septembre, le manque de recul sur cette maladie complique le dispositif de lutte, tandis que les éleveurs réclament un accompagnement économique.
Un mois après le début de la saison des cerises, la députée Laurence Heydel Grillere a rencontré une quinzaine de producteurs de sa circonscription, samedi 24 juin. Sans surprise, la campagne s'annonce difficile avec des ravageurs qui menacent la récolte suite à l'arrêt du Phosmet.
Mardi 13 juin, Emmanuel Macron était en visite en Ardèche. Au laboratoire Aguettant, à Champagne, le président de la République est venu annoncer sa stratégie de renforcement de la sécurité sanitaire.
Ce vendredi 28 avril, Jeunes agriculteurs (JA) Ardèche a réuni de nombreux représentants du monde agricole et des élus autour d’Aurélien Jourdan, éleveur bovin. Il a rejoint l’exploitation familiale en décembre 2021 sur la commune du Cros-de-Géorand.