Définir trois zones distinctes dans son organisation d’élevage
Dans un bâtiment, animaux, éleveurs et personnes extérieures à l’élevage (vétérinaires, équarrisseur…) se croisent. Pour assurer le meilleur confort de tous, bien penser les flux dans et aux abords des bâtiments est essentiel. Quelques points clés.

Bien penser les flux des personnes, des animaux et des véhicules, dans et autour des bâtiments d’élevage, est gage de biosécurité, mais également de confort de travail. Ainsi, l’organisation d’un élevage peut se raisonner en trois zones bien distinctes : la zone publique, la zone professionnelle et la zone d’élevage. « Les limites entre les différentes zones sont, le plus souvent, naturelles (haie, talus…) ou virtuelles. L’objectif est de pouvoir rapidement les identifier, afin de respecter les règles de circulation d’une zone à l’autre », indique GDS France. Zone publique Dans la zone publique, située en périphérie de celle d’exploitation, la circulation des véhicules et des personnes est libre. Doivent y être positionnés : le parking, la zone d’habitation éventuelle, si possible l’accès des tonnes à lisier à la fosse ou à la fumière et l’aire d’équarrissage (la plus éloi...
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