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COIRON

Quand la grenade s’associe à l’élevage bovin

Éleveur de vaches allaitantes, Mickaël Cros s’est diversifié en plantant 3 hectares de grenades depuis l’arrivée de son fils Cédric sur l’exploitation. Une culture fruitière qui s’associe bien à l’élevage bovin, mais aussi au climat et au terroir. 

Quand la grenade s’associe à l’élevage bovin
De droite à gauche : Mickaël Cros, accompagné de ses fils, Cédric et Nicolas. Crédit photo AAA AL

Mickaël Cros élève un peu moins d’une centaine de bovins allaitants et une soixantaine de génisses, dont la viande est vendue à des maquignons. Il dispose de 200 hectares de prairies de fauche et de pâturage à Darbres et Saint-Laurent-sous-Coiron pour ses charolaises. Les cours de la viande et l’augmentation de ses charges d’élevage, mais aussi l’installation sur l’exploitation de son fils Cédric en 2019 (Gaec Deluche), le pousse à trouver des solutions pour sécuriser les revenus de la ferme. Il se lance alors dans un projet de diversification, avec la culture de la grenade. Ce fruit ancien, longtemps oublié mais de plus en plus prisé par les consommateurs français, connaît un regain de production ces dernières années. Grenade : une production de niche C’est en visionnant un reportage sur la production de grenades que Mickaël Cros a commencé à s’intéresser à cette culture fruitière. L’arrivée de son fils sur l’exploitation sera d...

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